Certains livres se racontent. D’autres se vivent.
« Le Voyage des cinq doigts » n’est pas un livre ordinaire. C’est une œuvre silencieuse – dessinée
par la douleur, portée par la musique, née d’un moment qui a tout changé.
L’auteur suisse David Davut Demirel a survécu à un cancer. Ce qu’il lui reste, ce n’est pas
seulement son corps, mais une manière plus profonde de ressentir.
Dans cette période existentielle, il croise la route d’une jeune fille réfugiée, qui a perdu la vue en
mer – brûlée par le sel, la lumière et la peur. Ses compagnons n’ont pas survécu.
Et pourtant : quelque chose parlait encore en elle. Doucement. Avec clarté. Avec mémoire.
Ce souvenir est devenu le point de départ d’un voyage qui ne crie pas – mais qui reste.
Ce qui rend cette œuvre unique :
• Un artiste français a esquissé à la main les quatre premières pages – une entrée en
matière tactile, sensible, presque fragile.
• La couverture du livre a été peinte par un artiste argentin – une image figée au bord
du silence.
• Une chanteuse brésilienne a écrit et interprété une chanson spécialement inspirée
de l’histoire – sur la lumière, la perte et le retour.
• Une pièce pour piano composée par un pianiste allemand accompagne le livre via
un code QR – non comme une bande-son, mais comme un écho intérieur.
• Les derniers mots de la jeune fille clôturent le livre – non comme un document,
mais comme un testament.
• Le livre est dédié à ceux qui ont offert au cœur de l’auteur direction, courage et
espoir.
De quoi s’agit-il ?
Cinq doigts. Cinq chapitres. Cinq espaces intérieurs :
Peur, patience, mémoire, perte, espoir.
Une jeune fille perd la vue – et retrouve sa voix.
Un homme survit au cancer – et découvre sa vérité.
Ils ne sont pas dans la même embarcation, mais dans la même humanité.
Les pages dessinées, accompagnées de musique et de fragments de souvenirs, deviennent un
dialogue silencieux entre le réel et le lecteur.
Ce livre n’est pas un produit.
C’est un témoignage. Une œuvre d’art. Et un appel discret à l’humanité.
À propos de l’auteur :

David Davut Demirel est Fellow de la Royal Society of Arts (RSA) à Londres – l’une des plus
anciennes institutions culturelles du monde, dédiée au progrès social, à l’éducation créative et à
l’innovation humaine.
Il est ambassadeur de paix auprès de la Universal Peace Federation (UPF) et membre actif du
World Humanitarian Drive (WHD) – une plateforme internationale qui promeut la paix, l’éducation
et la dignité humaine.
Il étudie la psychologie de la communication et est certifié par les Nations Unies en
développement durable, diplomatie et consolidation de la paix.
Après sa propre maladie, Demirel est devenu une voix pour les autres : militant contre le cancer, il
a transformé son combat personnel en un appel public – par le sport, la présence médiatique et
l’art.
Sa force ne réside pas dans la lutte, mais dans la transparence du cœur – et dans sa capacité à
montrer combien l’humanité coûte. Et combien elle vaut.
« Je crois aux livres qui ne donnent pas de réponses – mais qui tiennent la main quand plus
personne ne le fait. »